Rencontre imrévue !!! J'ai baisé la vieille salope
C'était un dimanche, et je voulais sortir m'acheter une chemise, j'ai décidé de ne pas prendre le bus et de faire le trajet à pieds. Je marchais le long du boulevard qui mène au centre ville j'ai remarqué une femme qui marchait de l'autre coté (un dimanche et à 10 heure du matin y'avait pratiquement que nos deux dans la rue) et qui m'a fait un signe de sa tête pour la rejoindre! J'ai fais semblant de ne pas remarqué cet appel (en fait je ne savais pas ce qu'elle voulait et je n'étais pas prêt pour avoir de l'ennuie à cette heure), lorsqu'elle remarqué mon hésitation elle a commencée à m'appeler. Je me suis dis alors que peut être elle voulait me demander des informations, j'ai traversé alors la route pour la rejoindre. Elle avait environs 45 ans, de taille petite, avec des cheveux teintés d'une couleur blonde bon marché, et elle portait une djellaba.
- Bonjour beau gosse ! C'était de la drague ouverte qui ne prête pas à confusion
- Bonjour
- Tu ne veux pas venir avec moi ?
- où ?
- Je ne sais pas. La ou tu veux ! T'as pas un endroit où on peut aller ? Moi je connais une femme qui peut nous louer une chambre
- Non pas la peine ! J'ai un local, mais qu'est ce que tu peux faire de spécial ?!
- Bah ! Tout ce que tu veux ! Un peu de sexe anal, un peu de sexe oral ! (Une sodomie pour une femme qui a l'âge de ma mère peut être quelque chose de nouveau pour moi )
- Ok ! On y va
Lorsqu'on est arrivé à la maison j'ai découvert que j'ai ramené une vraie cochonne. Dans les escalier elle n'a pas maîtrisé son bassin qu'elle collait contre moi, et elle se mis a me mordiller les lèvres, ce qui me fait toujours un effet explosif, croyez-moi.
Je suçai sa lèvre inférieure, elle m'immobilisa le menton d'une main pour m'enfoncer sa langue dans ma bouche, nos lèvres n'en finissaient plus de se toucher, nos langues de s'entremêler, ce qui ne l'empêchait pas de gémir de plus en plus.
Arrivée dans ma chambre, elle était complètement excitée, elle enlevée sa djellaba, elle ne porta qu'un collant blanc et des soutiens gorge elle avait une lourde poitrine avec des pointes dures comme des crayons le chatouiller. Je levais mes mains pour les appuyer sur les masses charnues de ses copieux nibards et entrepris un massage à pleine mains, style boulanger qui fait lever sa pâte.
Elle était excitée comme un poux, elle prit ma queue, dégagée du pantalon et du boxer vite fait, et elle descendit doucement le prépuce, en libérant le gland. Tenant mon sexe dans une main, lentement elle me massa l'extrémité, en n'ayant pas oublié de passer ses mains entre ses jambes afin qu'elles soient humides et glissantes.
De temps a autre ses cheveux venaient caresser mes testicules. Elle continua à me caresser, me faire coulisser doucement.
Pendant ce temps, j'avais entrepris un frottement doux sur sa chatte, et quand je sentit son bassin bouger de nouveau, j'ouvris les petites lèvres de sa chatte et dégageai son clitoris, que je me mis à branler doucement de mes doigts.
Je n’en pouvais plus, complètement perdu de se savoir dans cette situation perverse et jouisseuse. Je me remis à donner des coups de pistons dans sa bouche en la tenant par tête et en se mettant à la traiter de salope qui se fait tripoter et qui se donne du bonheur...
Tant cette salope me poignait le membre avec une science d’hétaïre. Elle voulait de la bite... Elle allait en avoir.
D’un coup, je j'ai positionné mon gland contre sa fente qui venait de passer le pli des lèvres glissantes, s’enfonçant d’un coup dans sa motte en rut.
La situation la fait délirer : « oôôôôôôhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, salope, salooooope, je suiiiiis salope, je me fais prendre comme une femelle, âââââââhhhh !!!!!!
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ça y était... ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, vas-y salaud, baise, ouiiiiiiiiii, baise, baise moi, profond, fort... défonce cette salope qui va te faire jouir !!!
AAAAAAAAAAAââââââhhh !!! Je jouiiiiis encore, ouiiiiii, vas-yy, rentre ta queue, toute, toute entière, ouiiiiiiii, au fond, mets là au fond, que je sente tes couilles
Elle continue à donner des coups de talons, moi des coups de reins. Je parle dans son oreille comme quand je la baise au téléphone... ma voix descend dans le vagin, lui rappelle ses turpitudes de jouisseuse orale, elle se sent couler encore plus. Elle crie de nouveau, sans pouvoir se retenir, en donnant des coups de ventre : « ouiiiiiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, ââââââââââhhh, encooore, encore, oooooooh, salaud que tu es boooooon, enfonce ta queue, ouiiiiiiiiiiiii, enfonce, prends ma chatte, prends ma chaaaaaaaaaatte, aahhhh que c’est bon d’avoir un mec dans le ventre...aâââââââhhh, je pars, je pars, je pars... !
D'un seul coup et sans préparation je la lui mis dans le cul qui heureusement était déjà trempé par le jus de son vagin coulant.
La pénétration est violente et Souhila repart dans une longue plainte de femelle en rut : « saaaaaaaaaaaalaud, aaaaaaaaaaaaaaah, aaaaaaah, salaud...ouiiiii » !
« Je vais encore jouiiiiiiiiir, tu – es - un - salaud - de - me - faire - tout - çaaaa...
ses seins étaient devenus énormes à leur tour, érogènes, avec des pointes de pute en chaleur... C’était de la baise pour la baise... de la queue pour de la queue... du sexe pour le sexe...
elle en avais envie de la manière la plus salope qui soit et voulait se sentir baisée comme une salope, une vraie salope qui aime la bite.
je me mis à accélérer ma cadence la pistonnant de plus en plus fort, soufflant des vicieuseries à ses oreilles je disais qu'elle était bonne, salope, vraiment bonne à baiser... que des putes comme elle j'en avait jamais rencontré. Elle était partie, pendant que je la cramponne encore plus fort aux hanches s’enfonçant puissamment au fond de sa chatte... Aââââââhh, la salope, je vais cracher mon foutre... Je sentais mon membre se gonfler, mon gland se mettre à vibrer préparant la salve de sperme qui allait la remplir, la gaver de jus...
OOOOuiiiiiiiiiiiiiiii, ça y est............ en râlant je lâchai complètement lui inondant le ventre d’un torrent de crème épaisse, lourde, grasse...
elle sentait les secousses de ma pine qui éjaculait decrescendo, pendant que je continuais à m’enfoncer dans son ventre comme pour y rentrer en entier.
Quel bonheur ce cul d'enfer !!!
casablanqueue@hotmail.com
PS : je n'accepte que les meuf ! à condition de m'envoyer un petit mot de presentation avec l'invitation
C'était un dimanche, et je voulais sortir m'acheter une chemise, j'ai décidé de ne pas prendre le bus et de faire le trajet à pieds. Je marchais le long du boulevard qui mène au centre ville j'ai remarqué une femme qui marchait de l'autre coté (un dimanche et à 10 heure du matin y'avait pratiquement que nos deux dans la rue) et qui m'a fait un signe de sa tête pour la rejoindre! J'ai fais semblant de ne pas remarqué cet appel (en fait je ne savais pas ce qu'elle voulait et je n'étais pas prêt pour avoir de l'ennuie à cette heure), lorsqu'elle remarqué mon hésitation elle a commencée à m'appeler. Je me suis dis alors que peut être elle voulait me demander des informations, j'ai traversé alors la route pour la rejoindre. Elle avait environs 45 ans, de taille petite, avec des cheveux teintés d'une couleur blonde bon marché, et elle portait une djellaba.
- Bonjour beau gosse ! C'était de la drague ouverte qui ne prête pas à confusion
- Bonjour
- Tu ne veux pas venir avec moi ?
- où ?
- Je ne sais pas. La ou tu veux ! T'as pas un endroit où on peut aller ? Moi je connais une femme qui peut nous louer une chambre
- Non pas la peine ! J'ai un local, mais qu'est ce que tu peux faire de spécial ?!
- Bah ! Tout ce que tu veux ! Un peu de sexe anal, un peu de sexe oral ! (Une sodomie pour une femme qui a l'âge de ma mère peut être quelque chose de nouveau pour moi )
- Ok ! On y va
Lorsqu'on est arrivé à la maison j'ai découvert que j'ai ramené une vraie cochonne. Dans les escalier elle n'a pas maîtrisé son bassin qu'elle collait contre moi, et elle se mis a me mordiller les lèvres, ce qui me fait toujours un effet explosif, croyez-moi.
Je suçai sa lèvre inférieure, elle m'immobilisa le menton d'une main pour m'enfoncer sa langue dans ma bouche, nos lèvres n'en finissaient plus de se toucher, nos langues de s'entremêler, ce qui ne l'empêchait pas de gémir de plus en plus.
Arrivée dans ma chambre, elle était complètement excitée, elle enlevée sa djellaba, elle ne porta qu'un collant blanc et des soutiens gorge elle avait une lourde poitrine avec des pointes dures comme des crayons le chatouiller. Je levais mes mains pour les appuyer sur les masses charnues de ses copieux nibards et entrepris un massage à pleine mains, style boulanger qui fait lever sa pâte.
Elle était excitée comme un poux, elle prit ma queue, dégagée du pantalon et du boxer vite fait, et elle descendit doucement le prépuce, en libérant le gland. Tenant mon sexe dans une main, lentement elle me massa l'extrémité, en n'ayant pas oublié de passer ses mains entre ses jambes afin qu'elles soient humides et glissantes.
De temps a autre ses cheveux venaient caresser mes testicules. Elle continua à me caresser, me faire coulisser doucement.
Pendant ce temps, j'avais entrepris un frottement doux sur sa chatte, et quand je sentit son bassin bouger de nouveau, j'ouvris les petites lèvres de sa chatte et dégageai son clitoris, que je me mis à branler doucement de mes doigts.
Je n’en pouvais plus, complètement perdu de se savoir dans cette situation perverse et jouisseuse. Je me remis à donner des coups de pistons dans sa bouche en la tenant par tête et en se mettant à la traiter de salope qui se fait tripoter et qui se donne du bonheur...
Tant cette salope me poignait le membre avec une science d’hétaïre. Elle voulait de la bite... Elle allait en avoir.
D’un coup, je j'ai positionné mon gland contre sa fente qui venait de passer le pli des lèvres glissantes, s’enfonçant d’un coup dans sa motte en rut.
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La pénétration est violente et Souhila repart dans une longue plainte de femelle en rut : « saaaaaaaaaaaalaud, aaaaaaaaaaaaaaah, aaaaaaah, salaud...ouiiiii » !
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ses seins étaient devenus énormes à leur tour, érogènes, avec des pointes de pute en chaleur... C’était de la baise pour la baise... de la queue pour de la queue... du sexe pour le sexe...
elle en avais envie de la manière la plus salope qui soit et voulait se sentir baisée comme une salope, une vraie salope qui aime la bite.
je me mis à accélérer ma cadence la pistonnant de plus en plus fort, soufflant des vicieuseries à ses oreilles je disais qu'elle était bonne, salope, vraiment bonne à baiser... que des putes comme elle j'en avait jamais rencontré. Elle était partie, pendant que je la cramponne encore plus fort aux hanches s’enfonçant puissamment au fond de sa chatte... Aââââââhh, la salope, je vais cracher mon foutre... Je sentais mon membre se gonfler, mon gland se mettre à vibrer préparant la salve de sperme qui allait la remplir, la gaver de jus...
OOOOuiiiiiiiiiiiiiiii, ça y est............ en râlant je lâchai complètement lui inondant le ventre d’un torrent de crème épaisse, lourde, grasse...
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Quel bonheur ce cul d'enfer !!!
casablanqueue@hotmail.com
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